Triste spirale heureuse
Une main dans les chaînes ferrées, un œil poché, l’autre fermé. De la sardine pour l’autre rive Un crâne qui suce les rayons. Le soleil du satrape ; le satrape l’étouffe l’utilise. Son animal ? Et pourtant la chaleur de Harlem scande les éternels blues. Les jazz qui calment le volcan Le vent porte son talent au-dessus des Muses. Le noir. L’âpre destin que cet homme ! El esclavo negro